Après l'effort, le réconfort
J’ai entrepris de disquer le mur séparant la Librairie et la chambre noire pour y faire un passage. Jamais respiré une poussière aussi fine qui reste une demie heure en suspension dans l’air. Trois brouettes de gravats !
Vite une douche pour accueillir Caterina avec 5 italiennes, plus une Russe. J’étais donc le 8°. Le soir, elles m’ont invité au restau de Vaugines, joyeuses, rieuses et curieuses de ce que je racontais. Catalina se distinguait par un très beau visage, des yeux bleus comme Bernadette. Ne me lâchait pas, me fit asseoir à côté d’elle, me posait plein de questions. M’invita à venir voir le Mont Blanc depuis son val d’Aoste.
Au sortir, promenade jusqu’à l’église, les platanes, la place faiblement éclairés. Moi, toujours auprès d’elle. Réminiscence de semblables promenades nocturnes auprès d’une jeune-fille.
Un texto m’eût suffi pour demander si aucune n’avait envie de compagnie pour la nuit. J’ai gagné ma couchette.
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