Billet de régie. A tous mes lecteurs

J'ai passé mercredi 2 heures avec Gérald à faire plusieurs mises au point sur notre blog, cher lecteur. Je possède maintenant un nom de domaine, ce qui signifie que vous pouvez accéder directement au blog en tapant : brunoviard.fr

Contrairement à ce que je croyais, il faut que vous possédiez un compte facebook, disqus ou tweeter pour laisser un commentaire, ce que je regrette. Il est d’ailleurs facile d’en ouvrir un. Sinon, vous trouverez mon adresse mail dans Qui-suis-je ? (barre des menus). Je peux même répercuter votre commentaire si vous le voulez.

Vous savez que je reçois des statistiques sur le nombre de lecteurs de chaque billet. Je me réjouis d’en avoir aux 4 coins du monde, et j'adresse un cordial salut à tous ces nobles étrangers. Mais il reste encore des terrae incognitae, ou plutôt des terres où notre blog est inconnu.

Vous avez remarqué que la ou les « catégories » auxquelles il appartient est affiché en tête de chaque billet (j’utilise ce mot plutôt que post). Voulez-vous savoir quelles catégories ont le plus de succès ? C’est Érotisme ! Et de très loin. En particulier Enquête publique reste en tête du nombre de visites depuis sa publication le 20 septembre dernier. Ensuite Humour. Je m’amuse un peu de cela mais je ne m’en plains pas car j’assume entièrement ces catégories apparemment légères.

Les sujets plus difficiles ont aussi beaucoup de lecteurs ; j’aurais un mot à dire à ce sujet. Même si je peux sembler varier complètement les thèmes que je traite, je tiens beaucoup à l’unité de perspective. Vous avez pu vous apercevoir que certaines catégories reviennent souvent comme Art contemporain, République sociale, psychologie de l’amour-propre, etc. Mes billets se complètent et se répondent sur ces sujets et je regrette un peu que les anciens soient rarement consultés. Les 5 billets consacrés à l’art contemporain constituent par exemple un ensemble construit. Je sais bien que le plaisir du blog, c’est de papillonner. Il n’empêche que si je me suis lancé dans cette entreprise, c’est parce que j’ai quelque chose à dire. Je n’hésite pas à affirmer même que je poursuis un but pédagogique, même si je le conçois en dialogue. Je veux dire que je crois avoir acquis une vision psychologique, esthétique, morale et politique cohérente que je souhaite partager.

Le lecteur est roi et grappillera à son gré. Si l’auteur a cependant un vœu à exprimer, c’est de réussir à l’intéresser ou même à l’initier à ce que j’ai appelé une pensée du Tao j’aurais aussi pu dire de l’ambivalence. Voilà ce qui m’intéresse et à quoi j’espère vous intéresser…

Photo : Antonia à Port-Saint-Louis-du-Rhône.